Les JC sont interdits en 1939. Dans la clandestinité la JC reste active, elle est même à l’origine du premier acte de la résistance en 1940 à Toulouse. A travers des distributions de tracts, en organisant la solidarité ou en prenant le maquis ou les armes, comme les bataillons de la jeunesse, les jeunes communistes vont s’illustrer dans la lutte contre le Nazisme.
Beaucoup seront emprisonnés, un service de police est dédié à l’anticommunisme, une grande partie y laissera la vie : fusillé comme Guy Môquet ou dans les camps de l’horreur comme Danielle Casanova.
mercredi, 30 septembre 2020
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